Piratage : 30.000$ réclamés pour ne pas diffuser d’informations financières

Hack for Trump, un groupe de pirates informatiques, annonce pouvoir diffuser les informations sensibles d’une banque basée aux Bahamas.

Après le piratage d’une banque d’affaire africaine [lire] révélée par Data Security Breach, voici venir l’attaque d’une nouvelle structure financière. La Fidelity Bank Limited, basée aux Bahamas, vient de confirmer le piratage d’un de ses serveurs. La banque installée à Nassau explique que les pirates ont visé sa vitrine commerciale web sans pouvoir toucher à ses clients.

Seulement, les pirates derrière cette attaque, qui signent sous le pseudonyme de « Hack for Trump »,  expliquent posséder suffisamment d’informations clients pour couler la structure bancaire. Les maîtres chanteurs 2.0 réclament 30.000 $ contre leur silence.

Hack for Trump explique agir de la sorte pour permettre le financement de la campagne présidentielle américaine de Donald Trump. Trump a confirmé avoir eu des difficultés à accéder aux données financières personnelles de ses clients. Clients gérés par la Fidelity Bank.

Un piratage qui serait un message « caché », une menace voilée, à destination de Trump ? (T242)

Au sujet de l'auteur
Damien Bancal - Fondateur de ZATAZ.COM / DataSecurityBreach.fr Travaille sur les sujets High-tech/Cybercriminalité/Cybersécurité depuis 1989. Gendarme réserviste - Lieutenant-Colonel (RC) ComCyberGend. Fondateur du Service Veille ZATAZ : https://www.veillezataz.com En savoir plus : https://www.damienbancal.fr

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