Drogue : Poison d’avril dans le black marker Français

Un étudiant commercialisait de la drogue achetée dans le black market. Il utilise le nom de l’ancienne propriétaire de son domicile pour recevoir ecstasy et autres amphétamines. Elle reçoit, à la place du dealer, la cam’

Ça bouge avec la poste ! Un slogan qui doit beaucoup amuser un ancien utilisateur du black market. Un étudiant en informatique de 23 ans vient de découvrir les joies d’une dropbox foireuse. Une dropbox, dans le petit monde du marché noir 2.0 est une adresse postale qui permet de recevoir les produits acquis via le blackmart. A la base, il ne s’agit pas de son adresse postale réelle mais celle d’un lieu géographiquement éloigné de l’acheteur.

Un étudiant ingénieur en informatique vient de découvrir que le transfert de courriers postaux est une service efficace proposé par la police. L’homme achetait de la drogue dans le dark net, puis il revendait ecstasy, cocaïne et autres produits stupéfiants.

Son erreur ? Il utilisait l’identité de l’ancienne propriétaire de son logement. Sauf que la dame avait fait un transfert de son courrier à la suite de son déménagement. Bilan, elle a reçu la drogue à la place de l’étudiant. Ce dernier vient d’être condamné, le 31 mars, à un an de prison, dont 8 mois ferme, par le  le tribunal correctionnel de Toulouse. [La Dépêche]

Au sujet de l'auteur
Damien Bancal - Fondateur de ZATAZ.COM / DataSecurityBreach.fr Travaille sur les sujets High-tech/Cybercriminalité/Cybersécurité depuis 1989. Gendarme réserviste - Lieutenant-Colonel (RC) ComCyberGend. Fondateur du Service Veille ZATAZ : https://www.veillezataz.com En savoir plus : https://www.damienbancal.fr

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